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La grande aventure électrique

Source: L'Actualité


Avec les ressources dont dispose Hydro-Québec et la volonté du gouvernement Legault d’électrifier l’économie, c’est toute une industrie qui passera bientôt à une vitesse supérieure. Attachez vos ceintures, la grande aventure électrique ne fait que commencer !


Imaginez un instant qu’en 2050, il ne reste que quelques tacots crachoteux parmi les cinq millions de voitures électriques roulant presque sans bruit sur les routes québécoises.


À Chibougamau, à Matane ou à Rouyn, les avions régionaux décollent grâce à leurs moteurs hybrides, plus silencieusement que les vieux coucous. Les livraisons s’effectuent par camion électrique. Sur le fleuve, les pétroliers se font rares, et l’on s’apprête à fermer le robinet du dernier pipeline…


Un avenir fantaisiste, pensez-vous. Sauf que le Québec de 2020 est déjà bien engagé sur la voie de l’électrification. Les Québécois sont les plus gros acheteurs de véhicules électriques et hybrides rechargeables au Canada — plus de 63 000 plaques d’immatriculation vertes, soit 1,4 % du parc automobile.


Pour toute l’année 2013, ils avaient acheté 2 500 autos électriques et hybrides rechargeables. Actuellement, c’est 2 500 par mois, soit 7 % des ventes de voitures neuves.

« La voiture électrique intéresse 20 % des consommateurs, c’est 10 fois plus qu’en 2011 » dit Simon-Pierre Rioux, président fondateur de l’Association des véhicules électriques du Québec (AVEQ), qui compte 11 000 membres propriétaires.

Le réseau de bornes de recharge publiques du Québec, plus de 2 300, figure parmi les plus étoffés sur le continent. De Saint-Jérôme à Drummondville, en passant par Shawinigan et Québec, les PME québécoises produisent de plus en plus de moteurs et de véhicules électriques (autobus, camions, vélos, bennes à ordures), de bornes de recharge, de blocs-batteries et de pièces en tous genres destinées au transport vert, alors qu’on n’aurait jamais imaginé une telle chose il y a cinq ans.


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Source: L'Actualité

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