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Nos grands sièges sociaux devraient bien résister

Source: Sylvain Larocque - Le Journal de Montréal


Les grandes entreprises québécoises se remettront relativement bien des ravages causés par la pandémie de COVID-19, estiment des spécialistes.

Photo: Philippe Orfali | Éric R. La Flèche, PDG de Metro.

Depuis le sommet historique atteint le 20 février à la Bourse de Toronto, l’indice des 30 plus importantes entreprises québécoises cotées (IQ-30) a reculé de 21,1 %, une baisse identique à celle du S&P TSX. L’indice élargi IQ-120 s’est quant à lui déprécié de 22,1 %.


Or, plus de la moitié des entreprises qui composent l’IQ-30 sont actives dans des secteurs jugés résilients, comme le commerce de biens essentiels (Metro, Saputo, Dollarama), l’énergie renouvelable (Innergex, Boralex), les télécommunications (Bell Canada, Québecor, Cogeco), la finance (Banque Nationale, Power Corporation, iA) et les transports (Canadien National, TFI).


Le spécialiste reconnaît que certains poids lourds de l’économie québécoise auront du mal à se relever. Mais selon lui, les nombreux programmes d’aide mis en place par les gouvernements joueront un rôle important.


« Ça va permettre aux entreprises de s’appuyer là-dessus pour se relancer », dit M. Hébert.


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Source: Sylvain Larocque - Le Journal de Montréal

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